Dernier regard vers l'Est:
La Turballe
Traversée maritime entre 800
et 1000 pieds... Plus haut, ce sont
déjà les nuages !
Hoedic et Houat arrivent vite...
Hoedic
(Ouiinn!!! On peut pas s'y poser!)
Houat
(et en ULM, on peut se poser?)
Arrivée à Belle-Ile avec une
météo qui "tarde à s'arranger".
Le Palais
Un tour rapide vers les
plages Ouest de l'île.
Et nous
voici posés sur le très
accueillant aérodrome de
Belle-Ile.
De la place pour garer notre
Cessnouille, du carburant pour
le réconforter, et quelques
petites phrases à retenir:
"Ici,
t'as deux saisons :
une saison des pluies,
et une où il va pleuvoir..."
"Huumm...
Le temps est parti pour rester..."
Ouessant
ne voulant pas de nous, nous mangerons un plateau de
fruits de mer particulièrement
frais et copieux ici, non mais !
Au Palais
aussi, c'était
le 14 juillet...
Prévisions pour le 15 au matin :
beau temps, ciel dégagé...
Temps le
15 au matin ?
Grisaille, plafond vers 800 pieds.
Ce sera donc balade à pieds !
L'Ecureuil ne craint pas la
grisaille, lui. A droite, la piste.
Après de bonnes crèpes
traditionnelles à Kervilahouen, un nouveau breifing
météo nous
pousse à faire une croix sur Guernsey, comme pour
Ouessant.
A la
place, nous décidons de rejoindre la famille de J-F
au coeur de la Beauce...
Décollage
en début d'après-midi
avec un plafond suffisant et une
belle amélioration, dès le
continent retrouvé.
Le Parc Régional de Brière
('doit pas manquer d'moustiques)
Après une pause sur le
"modeste"
aéroport d'Angers, nous passons
Blois (salut Georges ;-))
Bien que
ce ne soit pas mon
préféré des Châteaux de la Loire...
... il reste toujours aussi impressionnant !
Et pour finir, faute d'avoir pu photographier celle de Papa-à-JF, voici la ferme de Mamie-à-JF...
Quel accueil à Pithyviers !
...Ce n'est pas aussi dépaysant
que les îles anglo-normandes,
mais au moins n'y a-t-il pas de
brouillard en permanence...
Merci J-F !
Le 16,
retour via Auxerre et
Nevers, puis arrivée sur
Clermont entourré de
quelques beaux orages...
"Ouessant, c'est
une île
qu'il faut prendre
par surprise",
me dira Anne-Céline.
C'est ce
que nous ferons,
une prochaine fois !